Vivant moi-même avec l’épilepsie depuis une trentaine d’années, j’ai été confronté à maintes reprises aux limitations imposées par ma condition, dont celle de ne plus pouvoir conduire ma voiture. Le vélo m’a aidé à voir le positif et faire preuve de résilience, à rebondir et apprendre à composer avec l’épilepsie. Mon vélo est ainsi devenu mon premier allié et m’a permis de maintenir mon autonomie et de continuer à travailler. L’idée du Défi a ensuite surgit et nous en sommes aujourd’hui à la 3e édition