Le défi Simon à travers les années
“Le Défi Simon, roulons pour l’épilepsie”: un appel à l’action pour sensibiliser à l’épilepsie et améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec ce trouble neurologique.
Depuis 2021, Épilepsie Montérégie vise, avec cette initiative, à améliorer la compréhension de l’épilepsie dans la société, en éduquant le public sur les réalités de cette condition neurologique souvent mal comprise, en plus d’améliorer les soins de santé et les services de soutien aux personnes atteintes par cette condition et leur famille.
L’initiative de Simon Thibault via le Défi Simon est si importante dans la réalisation de la mission d’Épilepsie Montérégie, car elle contribue à inspirer et à pousser à l’action d’une façon pro-active et positive !
Au cours des trois dernières années, Simon et son équipe de cyclistes ont parcouru avec bravoure 2587 km en passant par La Gaspésie, Sept-Îles, Chicoutimi, Québec, Trois-Rivières, Montréal et Granby tout en venant à la rencontre du grand public pour rallier les gens à la cause.
Les montants amassés depuis 2021 ont été investis dans la réalisation du projet TONIC et des capsules vidéo de témoignages en lien avec l’univers de l’épilepsie au masculin. Deux projets innovants, percutants et adaptés à la réalité des familles québécoises.
Le défi Simon est une activité de sensibilisation et une collecte de fonds qui vont au-delà de toute attente pour soutenir notre travail en faveur des personnes qui vivent avec l’épilepsie et de leurs familles.
Citations
Mme Anie Roy
directrice d’Épilepsie MontérégieL'épilepsie est une condition neurologique qui touche des dizaines de milliers de personnes.Celles-ci doivent composer avec de nombreux défis au quotidien et leurs impacts sur la qualité de vie et la capacité à effectuer leurs activités. Il existe encore une stigmatisation associée à l'épilepsie qui peut empêcher ces personnes à chercher de l'aide et à trouver le soutien dont elles ont besoin
M. Simon Thibault
ambassadeur du DéfiVivant moi-même avec l’épilepsie depuis une trentaine d’années, j’ai été confronté à maintes reprises aux limitations imposées par ma condition, dont celle de ne plus pouvoir conduire ma voiture. Le vélo m’a aidé à voir le positif et faire preuve de résilience, à rebondir et apprendre à composer avec l’épilepsie. Mon vélo est ainsi devenu mon premier allié et m’a permis de maintenir mon autonomie et de continuer à travailler. L’idée du Défi a ensuite surgit et nous en sommes aujourd’hui à la 3e édition